Les chutes Victoria Falls (ou les Vic Falls)

Publié le par Etelvina Engel

Mardi 18 août 2015

Les chutes Victoria nous ont offert un spectacle digne de la création divine. MERCI.

Les photos vous en témoigne. Je disais: pour quoi voyageons-nous?

Eh bien, je n’appelerai pas cela des souvenirs, mais des empreintes dans mon esprit et tout tout au fond de moi, ces merveilles qui me tatouent de bonheur et d’émerveillement. Et lorsque je ferme les yeux le bonheur de l’instant ressurgie, alors je vous le dit: partez à la découverte du monde, emmenez vos êtres chers pour partager ces instants…

Et ce malgré les instants de doutes, de stress et de grandes engueulades, car je vis sur les briques de bonheur qui s’empilent et le mauvais ciment de l’instant plus compliqué à glisser dans les failles sans laisser de trace.

Jonas est parti, c’était vraiment très dure de se quitter, de le voir quitter l’Afrique. Nous lui avons simplement dit que si la vie en Suisse sans nous était trop dure, eh bien qu’il règle ses choses en Suisse et vienne nous rejoindre dans un mois en Afrique du sud.

De toute façon, ils viennent les 4 à Noël. Alors on verra.

A un moment donné, il est temps de vivre sa propre vie et de quitter les parents, mais quand est-ce le bon moment?

La ville de Livingston: j’adore : les rues, les gens, les stands de tout. Si tu salues une personne chaleureusement. Elle te le rend, même les quelques importins.

Les femmes sont très belles, les hommes aussi. Je vois des Paulettes partout…..

Et je me régale, je voudrais marcher sans cesse dans ces rues au milieu d’eux, acheter une orange ici, un beignet là, encore une banane et un peu de semoule de mais….C’est juste le délire total…mon Afrique à moi…comme je la révait….Les gens sentent bon et j’aimerais les toucher…mais je suis blanches et étrangère (money-money me disent certains, je m’en fou…j’aimerais leur en donner à profusions….si j’en avais).

Les quelques jours que nous avons passé avec la famille Bos`Trotters ont été un régal et un soufle d’oxygène pour les enfants. Nous nous serions crus au bord du lac de la Gruyère en train de faire des grillades. Pourtant nous avons passé nos journées au bord du Zambèze et nos nuits sur un parking. Tout semblait normal, habituel comme une vie quotidienne. Alors que tout était vraiment invraisemblable, voilà la vie d’aventure en camping-car. Les photos en témoignent.

Au bout de 3 jours, l’envie de reprendre la route devient impérative….ça aussi c’est dans le sang de l’aventurier qui bouillonne.

Nous voilà sur le chemin de retour au Botswana, black and white??? Le kalahari répondra.

Publié dans Journal Etelvina

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